lundi 8 janvier 2018

ANDRE BOURVIL DANS L'EMISSION "DOUCE FRANCE"


André BOURVIL, il en a été question dans l'émission « DOUCE France », 17ème numéro de cette première saison.


André BOURVIL (il aurait eu 100 ans en juillet 2017) a imposé très vite l’image d’un garçon naïf, gaffeur, maladroit avec les filles. En chanson, le succès des « Crayons » ou « A bicyclette » l’impose comme chanteur comique.
 C’est oublier tout le travail effectué pour parfaire ses textes, n’hésitant pas à emprunter des monologues tendres et nostalgiques de poètes moins connus aujourd’hui, comme Camille François, et son « Fredo le porteur » ou « Vive la mariée ».
Cette tendresse, elle s’est faite souvent discrète parmi la discographie d’André BOURVIL. En voilà quelques pépites extraites de ses très nombreux albums discographiques.
A commencer avec
« Ce petit air là »
Extrait de l’opérette « La bonne planque » ou lui le normand donnait la réplique à celle qui fut sa partenaire musicale durant de longues années, la méridionale Pierrette BRUNO.
Le thème des berceuses, abordé aussi par Henri SALVADOR dans  « Une chanson douce », donne trois beaux textes du couple attendrit par l’arrivée d’un bébé. A l’image de l’homme qu’il fut dans la vie privée


«Salade de Fruit »
« Ballade irlandaise »
« Berceuse à Frédéric »
A côté du personnage tendre, André BOURVIL sait aussi aborder les petites fêlures de la vie, celles qui font saigner un peu le cœur des souvenirs
« Vieux frère »
                                « Ma petite chanson »
                                « Tatane »
                                
« Monsieur le maître d’école »
Dans le vocabulaire musical de ses chansons il y a eu aussi le mot « bien »
« Bien, si bien »
« C’était bien » plus connue sous le titre « Le petit bal perdu »


Le voyage au cœur de  la tendresse s’est terminé par une pensée au musicien André BOURVIL,  dont l’instrument de prédilection fut l’accordéon (hommage par la même occasion à l’animateur de RADIO ALPA 107.3 FM LE MANS, Jacques BRUNET et ses émissions, chaque week-end, autour des accordéonistes)


« Au son de l’accordéon ».


La semaine prochaine, je vous emmène en « Banlieue ». Pas celle austère et sinistre d’aujourd’hui. Non, celle de Jean Renoir, de Marcel Carné ; celle des ouvriers, des travailleurs, des modestes qui trouvent la force de « rêver » : d’un coin de ciel bleu, d’une rivière, d’une partie de pêche, d’une guinguette, des chansons autour d’un verre, des lumières de Paris. L’amitié, la fraternité, une certaine joie de vivre….


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